
À la suite de campagnes d’appel au boycott lancées par les Palestinien·nes, Adidas, PUMA et Erreà ont mis fin à leurs contrats avec l’IFA. Reebok est maintenant confronté au même appel…
La Fédération israélienne de football inclut des équipes situées dans les colonies israéliennes illégales sur les terres palestiniennes occupées. La Cour internationale de justice a déclaré que l’occupation par Israël de la bande de Gaza et de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, était illégale et qu’Israël violait l’interdiction de l’apartheid.
À quelques jours des qualifications pour la Coupe du monde, l’IFA n’a toujours pas de maillots Reebok. (L’État génocidaire israélien ne devrait même pas participer aux éliminatoires de la Coupe du monde ! FIFA, bannissez Israël maintenant !)
Reebok a bloqué les commentaires sur ses réseaux sociaux : il était inondé d’appels lui donnant le choix de renoncer au contrat avec l’IFA ou de faire face à un boycott. Il y a une semaine, Reebok a ouvert à nouveau les commentaires sur un post Instagram : le flot d’appels au boycott a recommencé.
Alors qu’Israël, en brisant un fragile cessez-le-feu, intensifie son génocide contre les 2,3 millions de Palestinien·nes de Gaza, Reebok doit confirmer qu’il rompt le contrat avec l’IFA. S’il ne le fait pas, il sera accusé de complicité des crimes d’Israël et devra faire face à une campagne de boycott à l’appel du mouvement BDS.
La balle est dans votre camp, Reebok.
Campagne #BoycottReebok sur le site du BNC.
#BanIsraël #FIFA2026 #WorldCupQualifiers