La Fondation Rabinovich oblige les cinéastes à nier la violence coloniale de l’Israël d’apartheid.
La plus grande coalition de la société civile palestinienne qui dirige le mouvement BDS mondial appelle l’Africa Creative Market (ACM) a abandonner son partenariat avec la Fondation Rabinovich complice.
La Fondation Rabinovich est profondément impliquée dans le blanchiment du régime d’apartheid d’Israël et du nettoyage ethnique inhérent à sa création, comme le montre son propre contrat avec les cinéastes. Sa censure coloniale nous rappelle la Commission de Contrôle des Publications de l’Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid, qui a essayé d’interrompre le flot d’informations susceptibles de révéler l’oppression raciste du régime des Blancs.
Les plus grandes organisations de défense des droits de l’homme – dont Amnesty International, Human Rights Watch et l’israélienne B’Tselem – ont désigné Israël en tant que régime d’apartheid. Appliquer des conditions politiques racistes à des projets cinématographiques afin de nier les réalités coloniales, comme le fait la Fondation Rabinovich, ne devrait pas avoir sa place dans une initiative créatrice tournée vers l’avenir telle quel’ACM.