Est-ce que Big Thief s’attend à découvrir « le côté de la supériorité morale » en jouant dans un club qui célèbre ouvertement les massacres d’enfants ?
Les Palestiniens demandent installement à Big Thief d’annuler leurs concerts complices dans le Tel Aviv de l’apartheid.
La salle que le groupe a choisi, Barby, a fièrement distribué des t-shirts gratuits avec le logo de la salle et les mots « allez vous faire f***, nous sommes d’Israël » aux forces d’occupation israéliennes impliquées dans les massacres de 2014, dans Gaza assiégée, massacres qui ont tué plus de 2200 Palestiniens, dont plus de 500 enfants.
Big Thief a raison sur une chose : jouer dans l’Israël de l’apartheid est « intrinsèquement politique », malgré les affirmations cyniques des groupes de pression ou de façade d’Israël, comme la prétendue « Communauté créative pour la Paix ».
Comme dans la lutte historique contre l’apartheid en Afrique du Sud, les artistes qui rejettent les appels des opprimés sapent consciemment un mouvement de libération — souvent en échange contre de jolies rétributions.
Big Thief dit qu’ils ne savent pas « où se trouve le côté de la supériorité morale ». S’attendent-ils à ltrouver des réponses en jouant dans un club qui célèbre ouvertement les massacres d’enants ?